Un message des ambassadeurs canadiens de Win4Youth

Chaque année, les employés et les clients du Groupe Adecco s’unissent dans le cadre du programme Win4Youth pour partager leur passion du sport et améliorer les conditions de vie de jeunes du monde entier. Cette année, à la fin octobre, deux Canadiens feront partie des 70 collègues de partout au monde qui participeront au premier triathlon Win4Youth, présenté par Ocean Lava à Lanzarote, en Espagne.

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Anne Nguyen et Christian Robert représenteront le Canada au sein de l’équipe nord‑américaine. Ils ont été choisis pour leur passion pour Win4Youth, leur engagement sur les médias sociaux, leurs efforts de financement et leur adhésion aux valeurs fondamentales du Groupe Adecco. Ils nous racontent ce qui les a menés à devenir ambassadeurs Win4Youth.

Anne Nguyen

Anne Nguyen

Ce qui m’a d’abord poussée à soumettre ma candidature comme ambassadrice, c’est l’occasion de voyager en Europe et de tisser des liens avec des collègues du monde entier. Mais je ne pensais pas pouvoir répondre aux critères de sélection, comme organiser une collecte de fonds et augmenter ma présence sur les médias sociaux. Et si j’étais choisie, est-ce que je serais capable de finir le triathlon?

Tandis que je pesais le pour et le contre, j’ai discuté avec une collègue qui avait de l’expérience en triathlon, et qui m’a fait comprendre que tout était affaire de volonté. J’avais par ailleurs pris la résolution, au début de 2018, de sortir de ma zone de confort.

Quelques jours plus tard, ma décision était prise : je voulais être l’ambassadrice canadienne de Win4Youth, celle qui motiverait les débutants! J’ai donc fait le grand saut. J’avais tout à gagner et rien à perdre.

Avec l’appui de mon gestionnaire, j’ai lancé une compétition entre les succursales de Calgary et d’Edmonton pour savoir laquelle pouvait parcourir le plus de kilomètres en cinq jours – il n’y a rien comme une bataille de l’Alberta pour motiver les troupes! En plus de convaincre presque tout le monde de participer, j’ai recueilli des fonds pour Believe in the Gold, tout en faisant connaître cet organisme qui finance la recherche sur le cancer infantile et soutient les familles albertaines touchées.

Maintenant que je commence à raconter mon parcours, je veux que les gens comprennent que tout est possible. Je veux parler de mes hauts et de mes bas, et prouver qu’un bon réseau de soutien raffermit la confiance en soi. Ce n’est que le début, mais je suis déjà si reconnaissante de l’appui reçu. Je suis fière de faire partie de la famille Adecco, et impatiente de vous faire honneur! Suivez mon aventure jusqu’en octobre, alors que je franchirai le fil d’arrivée à Lanzarote.

Christian Robert

Christian Robert

Je cours par intermittence depuis une vingtaine d’années, et plus régulièrement depuis un an et demi. J’ai participé à un marathon en 2006 et à quelques 10 km et demi-marathons ces dernières années. Mais je suis loin d’être un athlète d’élite, et je ne suis surtout pas un cycliste ou un nageur d’expérience. J’ai même déjà dit à mon beau-frère, un adepte du triathlon, que je n’en ferais jamais. Trop exigeant, et je ne me voyais pas me dévouer autant à l’entraînement.

Et pourtant, je me suis engagé à participer à un premier triathlon olympique en octobre. Que s’est-il passé? Ce serait facile de répondre que j’ai perdu la tête, mais c’est bien sûr plus complexe.

Depuis 18 mois, je suis plus sérieux dans mon entraînement que je ne l’ai jamais été. Je ne m’entraîne pas nécessairement plus fort, mais avec plus de constance : je me concentre sur ma prochaine sortie et j’essaie de ne jamais rater une séance. Et c’est grâce au programme Win4Youth, qui m’a lancé et m’aide à rester motivé.

Mais, comme j’ai fini par en prendre conscience, j’ai besoin de nouveaux défis pour garder cette motivation. Sans « mission », je finis par m’ennuyer et par m’entraîner de moins en moins. J’en viens à courir si rarement que tout est à recommencer. Rester dans le top 5 des employés au Canada qui ont accumulé le plus de kilomètres ne peut me motiver qu’un certain temps. C’est pourquoi je me suis inscrit l’automne dernier au demi-marathon Scotiabank Toronto Waterfront, puis à la course sur route Around the Bay en mars. Et ça a fonctionné : j’ai continué de m’entraîner sur une base régulière.

Mais ensuite? Sans projet sur lequel me concentrer, j’avais peur de retomber dans ma mauvaise habitude de perdre motivation. J’ai décidé que cette fois, ça n’arriverait pas. Je continuerais de m’entraîner peu importe. Les bienfaits sont beaucoup trop nombreux! (Je vous reparlerai de ça.)

Ce qui me fait avancer, ce sont mes objectifs. – Mohamed Ali

Mon premier objectif était simple : continuer de m’entraîner régulièrement. Il me fallait donc une nouvelle mission. J’ai d’abord eu peur de l’admettre, mais le triathlon Win4Youth était le projet idéal. Ça me sortirait de ma zone de confort, mais ce serait stimulant. Voyager en Belgique et à Lanzarote (vous avez vu le paysage?) et compter sur l’appui de vos collègues? Il y a de quoi être motivé! Ça m’effraie de penser que je devrai nager 1,5 km dans l’océan, faire 40 km de vélo et courir 10 km, mais je sais que c’est possible si je m’entraîne avec constance. Et comme j’ai trouvé ma « mission », je me sens d’attaque.

Tout se passe bien jusqu’ici. Je me prépare pour le camp d’entraînement à Gand, en Belgique, en me concentrant sur la natation pour améliorer ma technique et mon endurance, et en ajoutant le vélo à ma routine.

Je tenterai d’être à la hauteur des précédents ambassadeurs canadiens et de faire honneur à tout le monde. C’est le début d’un long parcours. Mon but : profiter de chaque minute. Restez à l’affût de la suite de l’aventure!

Ce texte est le premier d’une série que signeront nos ambassadeurs Win4Youth pendant leurs préparations pour le triathlon de Lanzarote. Vous pouvez en lire plus sur le programme ici, et nous suivre sur Facebook et Twitter avec le mot-clic #Win4Youth.

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Le grand jour

Mon téléphone m’indique qu’il est 1 h 45 du matin et je suis allongé dans mon lit, complètement réveillé, prêt pour la course. J’ai beau essayer de me rendormir, un mélange d’excitation et d’appréhension me tient éveillé le reste de la nuit. Pendant que s’écoulent les quatre heures qui me séparent de celle du lever, je visualise cent fois chacune des étapes du triathlon, je fais des exercices de méditation et de relaxation.

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À 66 jours du jour J

Récemment, un collègue, qui est comme moi ambassadeur Win4Youth 2018, m’a rappelé qu’il ne reste que 66 jours avant le triathlon qui se tiendra à Lanzarote, en Espagne. Misère… Ça semble si loin et si près à la fois! J’y ai mis tant d’heures et d’efforts que j’affiche plus de 2 700 kilomètres au compteur. Et je sais bien que ça rapporte, je vois l’amélioration – mais est-ce que je serai prêt pour le jour J?

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